Ce ne semblent nullement les angoisses qui manquent si on pense au BDSM (bondage, domination, sado-masochisme) : la peur une douleur puis celle du ridicule, l’aspect elitiste, le tabou des sensations interdites, le sujet des violences conjugales, le folklore des harnais, lidee quon puisse franchir un point de non-retour, limpossible parti pris entre suicide social et passion secrete
Ce ne semblent nullement les angoisses qui manquent si on pense au BDSM (bondage, domination, sado-masochisme) : la peur une douleur puis celle du ridicule, l’aspect elitiste, le tabou des sensations interdites, le sujet des violences conjugales, le folklore des harnais, lidee quon puisse franchir un point de non-retour, limpossible parti pris entre suicide social et passion secrete en passant par la faute de gout consistant a suivre les styles du troupeau (cela devoile, la mode 50 Nuances de Grey a enfin reflue : allez en paix). Pour enfoncer le clou des reticences : votre acronyme BDSM, tel si sado-maso etait devenu une expression de novice ayant oublie ses cordes au cours de sa derniere rando au sein des Alpes. BDSM tel si lindicible devait etre tasse, hygienise, onze syllabes dans quatre lettres (or on sait que quatre lettres font forcement mal ANPE, SNCF, RATP, SIDA, SAMU). Et pourtant. […]